Fabriquées en bois dur – souvent du bouleau ou de l’érable – ces petites pièces résistaient à tout : soleil, pluie, vent, et même au temps qui passe. Contrairement aux pinces modernes qui se cassent ou rouillent, elles restaient fonctionnelles durablement.
Retour vers une époque où le linge séchait au vent

Dans les années 50, étendre le linge n’était pas une corvée, mais un petit rituel. On sortait le linge tout propre, on l’étendait au soleil et… on accrochait chaque pièce avec soin grâce à ces fameuses pinces. Elles étaient silencieuses, ne pinçaient pas trop fort, et surtout, elles dégageaient une certaine poésie.
Imaginez : une corde tendue dans le jardin, des draps qui dansent au vent, et une ribambelle de pinces en bois comme autant de petits soldats silencieux. Pas besoin de technologie : juste du bon sens et une touche de simplicité.