Lucie ne cherche pas à blâmer ou faire peur. Elle-même l’admet : « Je ne saurai jamais exactement ce qui a causé mon cancer. Mais j’aurais aimé être mieux informée. » Son objectif ? Faire passer le message que certaines habitudes alimentaires méritent qu’on les questionne.
Son histoire est un rappel précieux : même un simple sandwich industriel peut avoir un impact à long terme. Loin de tout alarmisme, c’est un appel à une vigilance douce. Un « réveil » nécessaire pour repenser notre rapport à l’alimentation transformée.
Et si, dès demain, on apprenait à lire un peu mieux les étiquettes et à chouchouter notre santé… un repas après l’autre ?