Une femme reçoit un diagnostic de cancer et pense qu’une viande populaire en est la cause

Lucie vivait une période très positive : son livre venait de paraître, elle était invitée à des conférences, des festivals… En un mot, tout allait bien. Et puis, un jour, le couperet est tombé : diagnostic de cancer colorectal. « C’est comme si mon identité avait été effacée », confie-t-elle. Le choc a été brutal, d’autant plus qu’elle se sentait « en pleine forme » physiquement.

Comment, alors, expliquer une telle nouvelle quand on ne présente aucun signe d’alerte ? C’est cette question qui a poussé Lucie à enquêter sur sa propre vie, et notamment sur son alimentation.

Charcuterie industrielle : le piège discret du quotidien

En creusant, une information revient sans cesse : les charcuteries industrielles sont fortement suspectées d’augmenter le risque de cancer colorectal. L’Organisation mondiale de la santé les classe même dans la catégorie des produits les plus nocifs, au même titre que le tabac.

Lucie a d’abord cru que ça ne la concernait pas. « Je ne suis pas une grosse consommatrice de viande », pensait-elle. Et puis, elle a repensé aux tranches de lard à Noël, aux plateaux de charcuterie à l’apéritif, à la pizza au chorizo du vendredi soir. Ces petits plaisirs devenus habitudes… qui, mis bout à bout, forment une vraie consommation régulière.

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