Un universitaire du XIXe siècle révèle les mystères de l’au-delà : les sept dimensions de l’âme

L’antichambre de l’éternité

Imaginez un espace transitionnel, ni tout à fait ici, ni complètement ailleurs. Ce second niveau, parfois nommé « Hadès » (à ne pas confondre avec la mythologie grecque), servirait de zone de récupération. Le temps d’y séjourner varie : bref pour certains, plus long pour d’autres.

Myers y aurait passé du temps après son décès en Italie. Il évoque une atmosphère sereine, baignée de lumières tamisées et d’un calme régénérateur. Une véritable station thermale pour l’âme.

Le miroir de nos vies

Ce niveau reflète notre existence terrestre, mais sans contraintes physiques. On y recrée son environnement familier, comme dans un rêve éveillé. Cependant, cette dimension a ses zones d’ombre.

Les âmes repliées sur elles-mêmes y expérimentent des espaces morne et isolés, dépourvus de chaleur humaine. Ce n’est pas une sentence divine, mais le simple reflet de leur état intérieur. La sortie dépend de leur volonté d’évoluer.

La véritable dimension spirituelle

Représentation artistique de la transition vers l'au-delà

C’est à ce stade que Myers affirme avoir vraiment saisi la nature de l’après-vie. Des teintes inédites, des perceptions amplifiées – tout y est plus intense. L’âme commence alors à percevoir une réalité transcendante, dépassant les limites de l’expérience humaine.

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