Origines du trouble : que se passe-t-il dans le cerveau ?

La science n’a pas encore percé tous les mystères de ce mécanisme, mais une piste sérieuse émerge : l’accumulation de protéines toxiques dans certaines zones cérébrales perturberait les centres régulateurs du sommeil. Ces dépôts, caractéristiques de la maladie, interféreraient avec notre horloge biologique.
Ce décalage s’aggrave avec le temps. Les premiers signes ? Des siestes de plus en plus longues l’après-midi. Puis, peu à peu, les nuits raccourcissent tandis que l’éveil nocturne s’intensifie. Dans les stades avancés, certains patients vivent complètement à contre-temps de leur entourage, créant une situation extrêmement éprouvante au quotidien.
5 astuces pour recadrer le rythme veille-sommeil
La bonne nouvelle ? Certaines approches peuvent aider à rétablir un semblant d’équilibre. Première clé : instaurer un cadre structurant. Les repères temporels rassurent les personnes dont les fonctions cognitives déclinent. Essayez de maintenir des horaires fixes pour les repas, les activités et le coucher.