Un phénomène surprenant qui se produit dans le corps avant la mort, selon un expert

Des changements métaboliques invisibles… mais perceptibles

Ce phénomène ne sort pas de nulle part. En réalité, à l’approche de la fin de vie, le métabolisme ralentit. Le corps, qui jusque-là s’activait pour maintenir toutes ses fonctions, commence à ralentir naturellement. Résultat ? Certains composés chimiques naturels, comme la putrescine ou la cadavérine, se libèrent progressivement.

Ces noms peuvent faire frémir, mais pas d’inquiétude : ils sont présents naturellement dans le corps humain. C’est leur accumulation qui, parfois, provoque ce changement subtil d’odeur corporelle, notamment au niveau de la peau, de la respiration ou des fluides. Une sorte de dernier signal discret envoyé par le corps.

Chaque histoire est unique, chaque corps aussi

Bien sûr, il n’existe pas de “parfum de la fin” universel. Tout dépend de la personne, de son état de santé, et parfois même de ses antécédents médicaux. Certaines maladies, comme celles touchant l’appareil digestif, peuvent accentuer ces changements olfactifs. Mais chez d’autres, aucun changement notable n’est observé.

C’est ce caractère aléatoire qui intrigue autant les soignants que les proches. Ce n’est pas une vérité absolue, mais un phénomène que de nombreux professionnels observent régulièrement, sans pouvoir toujours l’expliquer.

Un autre signal étonnant, mais rassurant

En parallèle de ce changement d’odeur, un autre signe est bien connu dans le monde médical : le “râle terminal”. Ce son, parfois difficile à entendre pour l’entourage, résulte d’une accumulation de liquides dans la gorge du patient, qui ne peut plus déglutir normalement. Cela crée un bruit de gorge humide, semblable à un léger gargouillis.

Et là encore, Julie McFadden rassure : ce bruit n’est pas douloureux, ni pour la personne concernée, ni synonyme de souffrance. Il fait simplement partie des transformations naturelles que le corps traverse dans ses derniers instants.

Laisser un commentaire