Une étude menée sur 4 000 personnes a d’ailleurs montré que celles ayant eu une activité sexuelle régulière pendant la pandémie ressentaient moins de stress et d’anxiété que celles qui étaient abstinentes.
Moins de sexe, moins de sommeil réparateur
Avez-vous des nuits agitées ? Vous réveillez-vous souvent fatigué sans raison apparente ? Cela pourrait être lié à votre vie sexuelle.
Lors des rapports sexuels, le cerveau libère de l’ocytocine et de la prolactine, deux hormones qui favorisent la relaxation et améliorent la qualité du sommeil. Sans cette « aide naturelle », le corps peut mettre plus de temps à s’endormir et le sommeil devient moins profond.
Le résultat ? Un état de fatigue chronique, qui peut impacter la concentration, l’humeur et même le métabolisme.
Prise de poids et troubles métaboliques
Si vous surveillez votre ligne, sachez que l’absence d’activité sexuelle peut influencer votre métabolisme.
En effet, la testostérone et les œstrogènes, hormones essentielles pour le bon fonctionnement du corps, sont régulées en partie par l’activité sexuelle. Lorsqu’elles sont en baisse, cela peut provoquer :
- Une augmentation de la rétention d’eau
- Une baisse du métabolisme de base (le corps brûle moins de calories au repos)
- Une augmentation des envies de sucre et de gras
Ainsi, certaines personnes remarquent une prise de poids inexpliquée ou une plus grande difficulté à maintenir un poids stable lorsqu’elles sont dans une période d’abstinence prolongée.
