À 19 ans, abandonnée et sans ressources, elle avait été forcée de laisser Hugo au foyer. Des années plus tard, elle était revenue, sans lui révéler la vérité, par peur de raviver ses blessures. Elle avait accepté son rejet, ses colères, sans jamais cesser de l’aimer.
« Je t’ai aimé avant ta naissance. Je t’ai aimé malgré tout. Je t’aimerai toujours. »
Un amour inconditionnel… enfin reconnu
En lisant ces mots, les larmes de Hugo coulèrent. Tout prenait sens. Le nounours, conservé toutes ces années. Les gestes tendres. La patience infinie.
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