Dans les moments de grande vulnérabilité, certaines tentations peuvent sembler attirantes. Mais l’alcool, les substances ou l’isolement n’apportent qu’un soulagement temporaire… et risquent d’aggraver le mal-être.
Mieux vaut privilégier des approches douces : respiration consciente, yoga, méditation, écriture, chant… selon ce qui vous apaise réellement.
Et surtout, n’oubliez pas…
Vous n’êtes pas seule. De nombreuses femmes ont traversé des épreuves similaires et ont réussi à se reconstruire. Ce que vous ressentez n’est pas exagéré, ce n’est ni une faiblesse, ni un caprice. C’est un vrai choc. Et vous avez le droit – et les ressources – pour vous en remettre.
Parce qu’après la tempête… revient toujours la lumière.