L’important n’est pas la quantité, mais la qualité du souvenir que vous choisissez de préserver. Posez-vous la question : est-ce que cet objet m’aide à me souvenir avec tendresse… ou à rester figé dans la douleur ?
Car parfois, dire au revoir à un objet, c’est faire un grand pas vers un apaisement intérieur.