- AVC ischémique : le plus fréquent, il est causé par un caillot sanguin bloquant une artère.
- AVC hémorragique : survenant suite à la rupture d’un vaisseau sanguin, il provoque un saignement à l’intérieur du cerveau.
- Attaque ischémique transitoire (AIT) : considérée comme un mini-AVC temporaire, elle annonce la possibilité d’un AVC plus grave à venir.
Avant qu’un AVC ne se déclare, le corps peut émettre des signaux d’alerte précurseurs qu’il est impératif de reconnaître.