Le stress et l’anxiété : Un cerveau trop actif continue d’envoyer des signaux au corps, même au repos.
La caféine et les stimulants : Ils retardent l’endormissement et augmentent la nervosité musculaire.
L’exercice physique tardif : Il maintient les muscles en éveil et complique la phase de relâchement.
Le manque de sommeil : Une dette de sommeil rend le passage à l’endormissement plus brutal et agité.
Faut-il s’inquiéter ?
Bonne nouvelle ! Ces secousses sont bénignes et concernent 60 à 70 % des personnes, peu importe l’âge ou le sexe. Elles ne sont donc pas considérées comme un trouble du sommeil.
Quand consulter un médecin ?