L’huile de thon qui finit dans les canalisations se retrouve inévitablement dans les stations d’épuration. Mais celles-ci ne sont pas conçues pour éliminer efficacement les graisses. Résultat : une partie de cette huile atteint les rivières et océans, où elle forme une pellicule à la surface de l’eau, limitant l’oxygénation des écosystèmes aquatiques.
Conséquences : Asphyxie des poissons, contamination de la faune marine et pollution des nappes phréatiques.
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Une menace pour la faune
Les oiseaux marins et poissons sont particulièrement vulnérables à cette pollution. L’huile s’accroche à leurs plumes et écailles, les rendant plus sensibles aux maladies et diminuant leur capacité à se déplacer ou se nourrir correctement.
À retenir : Une petite quantité d’huile jetée régulièrement dans l’évier peut, à long terme, causer de véritables désastres écologiques.