Manger du saumon contaminé, c’est un peu comme jouer à la roulette russe avec son estomac.
Comment profiter du saumon sans se mettre en danger ?
Heureusement, il est tout à fait possible de savourer ce poisson sans crainte, à condition de respecter quelques règles simples mais essentielles :
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Privilégiez les circuits de qualité
Optez pour des produits labellisés, issus de sources durables, et surveillez leur traçabilité. Les labels bio (AB) ou MSC (pêche durable) offrent souvent une meilleure garantie en termes de qualité et de contrôle sanitaire.
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Modérez la fréquence de consommation
Deux à trois portions par semaine suffisent largement pour bénéficier de ses bienfaits. Inutile d’en faire votre aliment principal, mieux vaut varier les sources de protéines marines (sardine, maquereau, hareng…).
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Cuisinez-le correctement
La cuisson est votre meilleure alliée. Elle permet de réduire la présence de parasites et de neutraliser certains agents pathogènes. Le saumon fumé ou cru (sushi, tartare, gravelax) doit être réservé aux occasions particulières, surtout si l’origine est incertaine.
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Méfiez-vous des couleurs trop vives
Un saumon d’un rose fluo ? Soyez vigilant. Cette couleur peut être artificiellement obtenue. Préférez des filets à l’apparence naturelle, même un peu plus ternes, gage d’un élevage plus respectueux.
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Consultez un professionnel de santé
En cas de doutes ou de conditions médicales particulières (femmes enceintes, jeunes enfants, personnes immunodéprimées…), un nutritionniste ou diététicien pourra vous guider vers une consommation adaptée.
