Mon corps m’avait prévenu : les symptômes avant-coureurs d’un AVC que j’ai sous-estimés

des céphalées inhabituelles et tenaces,
des anomalies visuelles brutales,
une faiblesse musculaire localisée,
des absences cognitives soudaines,
des variations tensionnelles inexpliquées.
Ne banalisez pas ces signes. Consultez rapidement. Exigez des examens approfondis. Ce n’est pas de la paranoïa : c’est du bon sens préventif.

Si l’un de vos proches présente ces symptômes, insistez pour qu’il ne les ignore pas.

Être à l’écoute de son corps, c’est lui dire : « Je te comprends. Tu m’importes. » Et dans certains cas, cette attention peut sauver une vie.

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