L’octocrylène et le propylparaben ne sont pas de simples additifs. Ils sont au cœur d’un débat scientifique et sanitaire qui dure depuis des années.
- L’octocrylène : couramment utilisé dans les crèmes solaires, il peut se dégrader avec le temps et libérer des composés potentiellement toxiques. Certaines études suggèrent qu’il pourrait avoir des effets néfastes sur l’environnement et la peau.
- Le propylparaben : ce conservateur est soupçonné d’être un perturbateur endocrinien, susceptible d’interférer avec le système hormonal, en particulier chez les enfants.
Bien que ces substances soient toujours autorisées en Europe, leur présence dans des produits destinés aux tout-petits, comme la crème solaire incriminée, suscite une vive inquiétude.
Lidl réagit, mais cela suffira-t-il ?
