Le premier risque identifié est neurologique. En urinant sous la douche, le cerveau peut associer le bruit de l’eau courante à l’envie d’uriner. Avec le temps, cette association conditionnée pourrait entraîner des situations gênantes : entendre de l’eau couler en faisant la vaisselle par exemple, pourrait déclencher une envie pressante ou, pire, des fuites urinaires.
Ce phénomène s’appuie sur un principe connu en neuropsychologie : de la même manière qu’une odeur appétissante peut provoquer de la salivation, le cerveau peut établir un lien entre un stimulus sonore (l’eau qui coule) et une réponse physique (l ‘envie d’uriner).