Neutralisation des radicaux libres : en capturant ces molécules instables, l’ail protège les cellules saines.
Régulation enzymatique : il influence positivement les enzymes essentielles au métabolisme cellulaire.
Inhibition du repliement des protéines dans le réticulum endoplasmique : ce processus est souvent perturbé dans les cellules cancéreuses.
Induction de l’apoptose : l’ail favorise la mort programmée des cellules cancéreuses.
Renforcement de l’immunité : en rendant les cellules cancéreuses plus détectables par le système immunitaire.
Les chercheurs expliquent : « Lorsque les cellules tumorales se propagent dans l’organisme, le cancer devient plus difficile à traiter. Grâce à ses composés, l’ail peut contribuer à bloquer les voies de signalisation nécessaires à la migration cellulaire et empêcher la propagation des cellules tumorales. »
Cibler les cellules souches cancéreuses pour prévenir les rechutes
Une autre dimension importante des recherches récentes est la capacité de l’ail à cibler les cellules souches cancéreuses (CSC). Ces cellules rares mais puissantes, présentes dans les tumeurs, peuvent se régénérer et se différencier en divers types de cellules cancéreuses. Leur présence est souvent à l’origine des rechutes après traitement.