Malgré ces découvertes intrigantes, il reste difficile de conclure à un lien direct de cause à effet. La question de savoir si la parodontite favorise le développement de la maladie d’Alzheimer ou si la démence entraîne une négligence de l’hygiène bucco-dentaire, augmentant ainsi les infections, reste ouverte.
Le Dr Stephen Dominy de la start-up Cortexyme, qui a dirigé l’étude, reste prudent quant à l’implication des agents infectieux dans le développement de la maladie d’Alzheimer, soulignant que des preuves de causalité supplémentaires sont nécessaires.