Quelques mois plus tard, alors que Lydia poursuivait sa convalescence, le domaine des Cole n’avait plus rien d’un mausolée. Les rires résonnaient dans les couloirs, la musique s’échappait des fenêtres, et des enfants jouaient sur la pelouse.
Partout, les aires de jeux vibraient du même motif — trois-trois-deux — un rythme autrefois perdu, désormais renaissant.
Et Adrien, tenant la main de Lydia, savait une chose avec certitude : parfois, ce sont les plus petites voix qui portent le plus loin.