Le pape François a également prévu le financement de ses funérailles, afin de ne pas peser sur les finances de l’Église.
Il a confié cette tâche à Mgr Rolandas Makrickas, avec des instructions claires pour garantir la plus grande discrétion.
Il n’a pas manqué de remercier tous ceux qui l’ont soutenu par leur amour et leurs prières, leur adressant un ultime geste de gratitude.
Enfin, dans un dernier élan spirituel, il a offert toutes ses souffrances pour la paix dans le monde et l’unité entre les peuples, telle une bougie silencieuse dans une cathédrale endormie.
Un héritage spirituel intemporel
À travers ce testament, le pape François nous enseigne une ultime leçon : la simplicité comme voie vers la grandeur.
À l’image de saint François d’Assise, dont il avait choisi de porter le nom, il nous rappelle que la véritable trace que l’on laisse ne se mesure pas en pierres taillées, mais en amour partagé.
À une époque où l’apparence prend souvent le pas sur l’essentiel, son humble adieu sonne comme une invitation à revenir au vrai : aimer, servir et espérer.