Des études animales confirment son potentiel antidépresseur, notamment dans les modèles induits par inflammation ou stress social, avec des effets similaires à ceux du Prozac. La glucoraphanine prise durant l’adolescence protège même les animaux adultes contre les effets dépressifs du stress.
Maladies neurodégénératives et lésions cérébrales
Le sulforaphane protège les neurones et améliore la mémoire dans des modèles animaux de maladie d’Alzheimer, de Parkinson et de Huntington. Il active également les protéines de choc thermique, connues pour prévenir l’agrégation de protéines toxiques dans le cerveau.
En cas de traumatisme crânien, il réduit l’œdème cérébral, protège la barrière hémato-encéphalique et favorise la réparation neuronale. Il stimule également les facteurs de croissance BDNF et NGF, essentiels au maintien de la plasticité cérébrale.