Le protocole du Dr. Mercola pour la détoxification post-vaccinale COVID-19

Stratégies de « détoxification » et de prise en charge proposées

Face à ces risques allégués, le protocole du Dr. Mercola propose un ensemble de mesures visant à « détoxifier » l’organisme de la protéine Spike et à gérer les symptômes.

  1. Neutralisation et élimination de la protéine Spike
    Le « World Council for Health » est la source principale d’une liste de substances naturelles et de médicaments (certains nécessitant une prescription) qui aideraient à cet objectif :

    • Médicaments (sur prescription) : Ivermectine et Hydroxychloroquine, pour leurs propriétés antivirales et anti-inflammatoires et leur capacité supposée à se lier à la protéine Spike.

    • Suppléments Clés : N-acétylcystéine (NAC) pour ses propriétés antioxydantes et mucolytiques ; Quercétine, Curcumine, Resvératrol, et Fisétine (des flavonoïdes aux effets anti-inflammatoires et antioxydants) ; Vitamines C (haute dose), D3 (associée à la K2 pour une meilleure absorption et utilisation), et K ; Minéraux essentiels comme le Zinc et le Magnésium.

    • Phytothérapie : Des extraits de plantes comme les aiguilles de pin (source de suramine, un inhibiteur potentiel de la réplication virale et de la coagulation), le pissenlit (pour ses effets détoxifiants sur le foie), le chardon-Marie (soutien hépatique), le cumin noir (Nigella Sativa, aux propriétés anti-inflammatoires et immunomodulatrices), et le thé vert (riche en catéchines antioxydantes).

  2. Prévention des problèmes liés aux prions
    La première recommandation est d’éviter toute nouvelle exposition aux vaccins à ARNm. Pour ceux déjà vaccinés, l’élimination de la protéine Spike est jugée prioritaire. En plus des substances ci-dessus, le Dr. Mercola relaie les suggestions de Judy Mikovits, Ph.D., qui incluent des traitements antirétroviraux à faible dose (pour « rééduquer » le système immunitaire), des interférons (pour stimuler la réponse immunitaire innée), le peptide T (un inhibiteur d’entrée virale), l’usage de cannabis (pour moduler l’interféron de type I), la diméthylglycine ou bétaïne (pour améliorer la méthylation et supprimer les virus latents), et la silymarine (chardon-Marie) pour la détoxification hépatique. La quercétine est spécifiquement mentionnée pour sa capacité à se lier aux prions et à modifier leur structure.

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