L’auteure dénonce le silence des autorités, qui qualifient ces observations de « théories du complot ». Pourtant, des brevets et des rapports, comme celui de l’US Air Force intitulé Weather as a Force Multiplier: Owning the Weather in 2025, suggèrent que la modification du climat est une réalité étudiée et appliquée. Ces pratiques, selon Séverac, viseraient à contrôler l’indépendance alimentaire, provoquer des catastrophes économiques ou militaires, et maintenir les populations dans un état de dépendance.
HAARP : l’arme ultime du contrôle global
Un autre pilier de l’argumentation de Séverac est le programme HAARP (High Frequency Active Auroral Research Program), qu’elle décrit comme une arme électromagnétique capable de manipuler le climat, de provoquer des catastrophes naturelles ou même d’influencer les esprits à grande échelle. Située en Alaska, cette installation militaire utiliserait des ondes à haute fréquence pour perturber l’ionosphère, avec des conséquences potentielles sur le climat et la santé humaine.
L’auteure évoque des liens entre HAARP et des événements comme l’ouragan Sandy ou la tempête Xynthia, suggérant qu’ils pourraient être le résultat d’attaques climatiques ciblées. Elle s’appuie sur des déclarations de scientifiques et de militaires, ainsi que sur des rapports déclassifiés, pour étayer ses accusations. Pour Séverac, HAARP symbolise la volonté des élites de contrôler non seulement l’environnement, mais aussi les populations, en les soumettant à des technologies de « mind control ».
La guerre secrète contre les peuples – hommage à Claire Severac
Le transhumanisme et la fin de l’humanité
Le livre explore également le projet transhumaniste, que Séverac voit comme la dernière étape de cette guerre contre l’humanité. En manipulant génétiquement les individus, en implantant des puces RFID ou en promouvant des technologies comme l’ectogenèse (grossesse artificielle), les élites chercheraient à créer une nouvelle race d’« humains-machines », dociles et dénués d’identité. Elle cite des expériences, comme celles menées à l’Institut Saint Barnabas dans le New Jersey, où des bébés génétiquement modifiés, porteurs de l’ADN de trois parents, sont nés.
Ce projet, selon l’auteure, s’inscrit dans une logique eugéniste, illustrée par des déclarations de personnalités comme John P. Holdren ou Ted Turner, qui prônent ouvertement la dépopulation. Séverac y voit une volonté de réduire l’humanité à un « réservoir d’hommes-machines », au service d’une oligarchie prédatrice.
Une société déshumanisée par le contrôle des masses