J’ai 45 ans, et aujourd’hui à 3 heures du matin, je suis enfin devenu père !

Nous n’avons pas de parents pour partager cette joie, pas de bras familiers pour nous entourer, pas de voix pour nous dire « félicitations » avec tendresse. Mais ce silence n’a pas pu voler la grandeur de ce moment. Parce qu’au fond, nous savons que ce petit être est une bénédiction. Un miracle. Une promesse que la vie continue, même quand on a grandi sans racines.

Chaque message, chaque pensée, chaque bénédiction que des inconnus ou des amis de passage nous envoient aujourd’hui a pour nous le goût d’un trésor. À vous qui lisez ces lignes : si vous avez pris une seconde pour nous souhaiter du bonheur, nous prions pour que le vôtre soit multiplié.

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