Ce que cela signifie (réellement) pour l’avenir
Ces résultats, bien que précoces, ouvrent une voie prometteuse. Le docteur Bryan Choi, spécialiste en neurochirurgie et co-directeur de l’essai, souligne : « Nous combinons deux types de thérapies pour agir de manière plus étendue sur des tumeurs particulièrement complexes. »
Autrement dit, cette double approche pourrait enfin permettre de mieux cibler des tumeurs dites « solides », considérées jusqu’ici comme très résistantes aux traitements.
Restons prudents, mais confiants
Bien sûr, il est important de rester mesuré. Ce traitement n’en est qu’à ses débuts. Seules trois personnes en ont bénéficié, et d’autres essais sont indispensables pour confirmer son efficacité à grande échelle. Mais pour les chercheurs, ces premiers résultats sont une avancée encourageante.
« Nous n’avons pas encore de remède, mais c’est un premier pas essentiel », affirme la Dre Marcela Maus, directrice du programme d’immunothérapie cellulaire.
Parfois, les plus grands espoirs naissent de petites victoires.