Il ne bougeait pas. Ses vêtements étaient ceux de mon mari… mais ce n’était pas lui. Son visage était à moitié dissimulé dans l’ombre, mais ce que j’en voyais semblait… déformé, comme un masque figé dans une expression de douleur ou de rage. Il tournait lentement la tête vers moi, et ses yeux – mon Dieu, ses yeux – brillaient d’un éclat inhumain.
Je refermai brusquement la porte et reculai, le cœur battant à tout rompre. Qui était cet homme ? Où était mon mari….