Et si c’était votre peau qui faisait des siennes ?
Certaines particularités dermatologiques peuvent mimer en permanence l’effet chair de poule. La kératose pilaire, par exemple, se traduit par une multitude de microkystes kératosiques – souvent localisés sur les bras ou les cuisses – donnant à la peau une texture rugueuse. Aucun danger, mais un bon soin émollient peut rendre la situation plus confortable.
Chair de poule récurrente : quand s’alerter ?
Quelques frissons occasionnels ne doivent pas vous inquiéter. En revanche, s’ils deviennent quotidiens, inexplicables, ou associés à d’autres signes (fourmillements persistants, épuisement chronique, sautes d’humeur…), un avis médical s’impose. Mieux vaut investiguer que passer à côté d’un signal que votre corps tente désespérément de vous envoyer.