Bien que prometteuse, cette approche soulève de nombreuses questions. Quelles sont les limites de cette plasticité cellulaire ? Peut-on réellement contrôler ces nouvelles structures pour éviter des effets indésirables ?
Les chercheurs estiment que ces cellules réassemblées ne survivraient pas plus de 60 jours, limitant ainsi les risques de prolifération incontrôlée. Mais des études supplémentaires sont nécessaires pour mieux comprendre ces mécanismes.
Ce « troisième état » pourrait bien redéfinir notre compréhension de la vie et de la mort. Et surtout, il ouvre des perspectives médicales incroyables, allant de la régénération cellulaire aux traitements sur mesure. Une chose est sûre : nous ne sommes qu’au début d’une révolution scientifique.