Certains prédisent qu’un jour ce ne sera pas une question de choix, ou que l’utilisation d’implants et d’autres types de bio-amélioration et de connectivité sera devenue si banale que nous trouverons cela normal, voire nécessaire. La crainte est que nous allons perdre notre liberté et notre vie privée.
D’autres se félicitent de la perspective de devenir physiquement connectés à l’internet des objets, tel que le groupe de bio-hacking responsable du programme RFID d’immeuble de bureaux.
Une présentation de BBC News a fait le profil de Hannes Sjoblad, un bio-hacker qui organise des « soirées implants » où des bénévoles sont implantés:
Il commence petit, avec un objectif de 100 volontaires enrôlés dans les quelques mois à venir, avec 50 personnes déjà implantées. Mais sa vision est beaucoup plus grande.
Ensuite il y en aura 1000, puis 10 000. Je suis convaincu que cette technologie est là pour rester et nous allons penser qu’il n’y a rien d’étrange d’avoir un implant dans sa main.