« En supposant une densité de 1 200 kg/m3 » ainsi qu’un « angle d’impact », l’étude prédit que si les astéroïdes frappaient la Terre, ils le feraient à une vitesse de 11,2 km/s.
L’étude poursuit : « Et en cas d’impact sur des roches sédimentaires, ces objets pourraient former des cratères d’un diamètre de 2,2 à 3,4 km, et libérer des énergies à l’impact de 1,5 à 4,1×102 mégatonnes de TNT, ce qui est plus que suffisant pour détruire de grandes villes.
« Cela correspond à un niveau huit sur l’échelle de Turin, c’est-à-dire une collision capable de provoquer une destruction localisée en cas d’impact sur terre ou éventuellement un tsunami si elle se produit à proximité des côtes. »

Suggestions pour l’avenir afin de mieux protéger la Terre des astéroïdes co-orbitaux de Vénus
L’étude explique qu’une « mission de télescope unique » ne peut pas toujours être d’une grande aide car « la couverture du ciel peut être limitée » et « les NEA et les PHA peuvent être observables pendant des durées et des géométries limitées, limitant ainsi la précision de l’orbite récupérée possible ».
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