Compilation : La lune est étrange – Non, vraiment. La lune n’a pas de sens.

Réincarnation et manipulation extraterrestre

La théorie de la récolte des âmes va plus loin en associant ce processus à un contrôle extraterrestre des émotions humaines. Selon les partisans de cette théorie, les extraterrestres s’assureraient que l’humanité reste en proie à des émotions négatives, telles que la guerre, la violence ou la haine, car ces états émotionnels seraient la nourriture dont ils ont besoin pour survivre.

Pour renforcer cette idée, certains théoriciens soulignent que des événements majeurs tels que des guerres ou des pandémies, qui touchent des millions de personnes, pourraient être orchestrés par ces extraterrestres pour provoquer un afflux massif d’émotions négatives, répondant ainsi à leurs besoins énergétiques.

Les bases extraterrestres sur la Lune : Ingo Swann

L’histoire d’Ingo Swann, médium et visualisateur à distance, est l’une des plus fascinantes concernant les théories extraterrestres sur la Lune. Swann, qui a travaillé pour la CIA dans le cadre du projet Stargate, a acquis une réputation solide pour ses capacités de visualisation à distance, c’est-à-dire la faculté de percevoir des lieux éloignés ou inaccessibles sans y être physiquement présent. Cependant, l’un de ses projets les plus étonnants a impliqué la Lune, où Swann affirme avoir découvert des bases extraterrestres sur la face cachée de notre satellite.

La mission de visualisation à distance de la CIA

Dans les années 1970, Ingo Swann fut recruté par la CIA pour participer à un programme de visualisation à distance visant à explorer le système solaire. Dans ce cadre, il lui fut demandé de projeter sa conscience vers la Lune afin d’y observer des activités extraterrestres potentielles. L’objectif principal de cette mission secrète était de confirmer la présence d’entités non humaines qui, selon certaines sources, seraient en train de construire des bases sur la face cachée de la Lune.

Swann, dans son livre Penetration publié en 1998, décrit cette expérience comme l’une des plus troublantes de sa carrière. Selon lui, en 1973, on lui demanda de se concentrer sur la Lune et de décrire tout ce qu’il voyait. Ce qu’il observa défiait toute logique terrestre : des structures gigantesques, semblables à des hangars et des tours, ainsi que des routes et des équipements ressemblant à des machines industrielles. Il mentionna également des lumières mystérieuses, visibles sur la surface lunaire, qui, selon lui, ne pouvaient pas être naturelles car la Lune n’a pas d’atmosphère capable de diffuser la lumière.

Des êtres humanoïdes sur la lune

Au fur et à mesure qu’Ingo Swann poursuivait ses observations, il fut de plus en plus convaincu qu’il ne regardait pas des installations humaines. Il rapporta avoir vu des êtres humanoïdes à l’intérieur de ces structures. Ces créatures, qui semblaient presque humaines, paraissaient très occupées à travailler autour de ces installations mystérieuses. Ce qui rendit Swann particulièrement mal à l’aise, c’est le moment où il réalisa que ces êtres avaient pris conscience de sa présence à distance. Selon lui, ils se sont arrêtés dans leurs activités et se sont tournés vers lui, ce qui le poussa à interrompre brusquement son expérience.

L’inquiétude de la CIA et les implications

Les observations de Swann sur la Lune ont suscité beaucoup d’inquiétude au sein de la CIA, car elles suggéraient non seulement que des entités extraterrestres étaient présentes, mais qu’elles étaient également conscientes de nos tentatives d’observation à distance. Le fait que Swann ait senti que sa présence était perçue par ces entités a renforcé l’idée que ces extraterrestres pourraient posséder des capacités supérieures à celles de l’humanité, non seulement en termes de technologie mais aussi en ce qui concerne leur conscience perceptive.

Bien que certains sceptiques remettent en question la validité de ces observations, affirmant qu’il s’agit d’une illusion ou d’une simple fiction, d’autres voient dans le témoignage de Swann une preuve crédible que la Lune pourrait abriter des bases extraterrestres et des installations avancées. En 2006, la déclassification de certains documents de la CIA a confirmé la participation de Swann au programme Stargate, renforçant ainsi la crédibilité de ses affirmations.

L’alunissage orchestré par Kubrick

L’une des théories du complot les plus célèbres sur la Lune est celle affirmant que l’alunissage d’Apollo 11 en 1969 aurait été une mise en scène orchestrée par la NASA, avec l’aide du célèbre réalisateur Stanley Kubrick. Cette théorie repose sur l’idée que la NASA, incapable d’envoyer des hommes sur la Lune en raison de contraintes techniques, aurait demandé à Kubrick de simuler l’alunissage pour préserver la suprématie des États-Unis dans la course à l’espace.

Les liens entre Kubrick et la NASA

Selon cette théorie, la NASA aurait remarqué les effets spéciaux révolutionnaires de Kubrick dans son film 2001, l’Odyssée de l’espace (1968), ce qui aurait conduit l’agence spatiale à le solliciter pour simuler l’alunissage d’Apollo 11. Kubrick aurait ainsi utilisé des techniques visuelles perfectionnées, notamment la projection sur écran frontal, pour rendre l’illusion d’un véritable atterrissage sur la Lune. Cette technologie, qui permettait aux acteurs de se tenir devant un écran de projection sans que l’image projetée ne soit visible sur eux, aurait été suffisamment convaincante pour tromper le public mondial.

La théorie avance que Kubrick aurait utilisé un objectif spécial fabriqué par la société allemande Zeiss pour la NASA, spécifiquement conçu pour les conditions de faible luminosité, afin de capturer les images d’un alunissage simulé en studio. Le cinéaste aurait eu accès à des experts de la NASA pour rendre les images encore plus crédibles.

Les indices cachés dans The Shining

Certains partisans de cette théorie vont encore plus loin en affirmant que Kubrick aurait laissé des indices dans son film The Shining (1980), comme une sorte de confession voilée de son implication dans la simulation de l’alunissage. Ils pointent notamment des éléments visuels dans le film, comme le pull que porte le jeune Danny Torrance, décoré d’une fusée avec les mots « Apollo 11 ». Ils voient également des symboles dans le motif de la moquette de l’hôtel Overlook, qui évoqueraient les rampes de lancement de Cap Canaveral.

Un autre détail intrigant pour les théoriciens est la chambre 237 dans laquelle Danny entre dans une scène du film. Dans le livre de Stephen King, la chambre est la 217, mais Kubrick l’a changée en 237. Certains y voient une référence à la distance moyenne entre la Terre et la Lune, soit environ 237 000 miles. Enfin, la scène où Jack Torrance tape inlassablement la même phrase « All work and no play makes Jack a dull boy » est également interprétée comme un indice caché. Le mot « All » serait, selon ces théoriciens, une abréviation de « A11 », faisant référence à Apollo 11.

Le supposé aveu de Kubrick

Selon les partisans de cette théorie, un entretien filmé avec Kubrick aurait été découvert en 2016, dans lequel le réalisateur aurait enfin avoué avoir dirigé la mise en scène de l’alunissage. Kubrick aurait signé un accord de non-divulgation de 88 pages pour garantir que cette interview ne serait pas rendue publique avant 15 ans. Cependant, malgré ces affirmations, il n’existe aucune preuve concrète ou vérifiable que Kubrick ait fait un tel aveu.

Laisser un commentaire