Une tournure trop soignée, un ton très neutre, un enchaînement presque trop fluide ? Il devient de plus en plus difficile de distinguer l’auteur humain de son double numérique. Pourtant, certains détails ne trompent pas. À y regarder de plus près, un œil attentif peut deviner la présence d’une intelligence artificielle derrière le clavier. Et cela n’est pas sans conséquence.
L’IA, nouvelle plume du quotidien
