Ces signes ne sont pas toujours alarmants, mais si vous en remarquez un, mieux vaut consulter votre médecin. Mieux vaut prévenir que guérir, non ?
L’auto-examen, votre meilleur allié une fois par mois

Pas besoin d’être un expert pour surveiller sa santé testiculaire. L’auto-examen est un geste simple, rapide et très efficace. L’idéal ? Le faire après une douche chaude, quand la peau est plus détendue.
Voici comment procéder :
- Tenez doucement chaque testicule entre le pouce et les doigts.
- Faites-le rouler délicatement, à la recherche de masses, de nodules ou d’un changement de texture.
- Comparez avec le mois précédent. Si quelque chose vous semble inhabituel, prenez rendez-vous avec un professionnel de santé.
Un petit geste mensuel pour une tranquillité durable.
Ces facteurs de risque à connaître (et à surveiller)
Certaines situations peuvent augmenter le risque :
- Des antécédents familiaux
- Des testicules non descendus à la naissance
- Des blessures testiculaires ou des interventions chirurgicales passées
- Des infections comme les oreillons contractés à l’âge adulte
Pas d’inquiétude excessive, mais cela vaut la peine d’être attentif si vous êtes concerné.
Prévention : une alimentation protectrice, naturellement

Ce que vous mettez dans votre assiette joue un rôle clé. Pour soutenir vos défenses naturelles :
- Faites le plein d’antioxydants (fruits rouges, raisins, thé vert)
- Pensez à la vitamine D (soleil, œufs, poissons gras)
- Consommez des oméga-3 (noix, graines de chia, saumon)
- Misez sur le brocoli, le curcuma et l’ail, aux vertus reconnues pour leur action anti-inflammatoire
Et côté « à éviter » : limitez l’alcool, le tabac et l’exposition excessive à la chaleur, surtout sur cette zone sensible (évitez notamment de poser votre ordinateur portable sur les genoux ou de multiplier les séances de sauna).