L’aluminium, en tant que facteur de risque de troubles neurologiques, est également détaillé dans un article de 2018 du Journal of Research in Medical Sciences. Ici, les auteurs notent à nouveau « qu’il est largement admis que [l’aluminium] est une neurotoxine reconnue qui pourrait provoquer une neurodégénérescence ». Ils soulignent également que l’aluminium « affecte plus de 200 réactions biologiques importantes et provoque des effets négatifs sur [le] système nerveux central ».
L’aluminium est détecté dans les organes un an après la vaccination
Une étude de 2013 a apporté un éclairage important sur l’alun, un adjuvant de vaccin et un « composé nanocristallin » qui s’est révélé former spontanément des « agglomérats de taille micro / submicronique ». Selon cet article :