Cet ancien remède tue plusieurs types de cancer, y compris du sein, du poumon et de la prostate

La présente étude a été entreprise pour évaluer l’efficacité des graines de nigelle pour l’éradication de H. pylori chez 88 patients avec une dyspepsie non ulcéreuse. Les patients ont été répartis au hasard en quatre groupes. Les groupes ont reçu diverses combinaisons de clarithromycine et / ou amoxicilline (antibiotiques), d’oméprazole (médicament anti réflux gastrique), et d’huile de nigelle. Les chercheurs ont constaté que les graines noires possèdent une activité anti-H. pylori comparable à l’utilisation combinée des trois médicaments qui ont été testés.[16]
Quel est l’avenir de l’huile de nigelle?

En 2011, des chercheurs allemands ont décrit la doxorubicine comme étant un des piliers de la chimiothérapie malgré sa cardiotoxicité et sa capacité limitée pour traiter les cancers multirésistants. Des études récentes ont révélé un effet protecteur de la thymoquinone, un constituant non-toxique de l’huile de Nigella sativa, contre la cardiotoxicité induite par la doxorubicine.[17]

En 2013, des chercheurs de Singapour ont signalé qu’il y a un nombre limité d’agents thérapeutiques pour le cancer et les cellules cancéreuses ont développé une résistance à ces agents. Ainsi, il existe un besoin de découvrir de nouveaux agents pour traiter le cancer du sein. Les activités antitumorales de la thymoquinone, ont été utilisés pour traiter des souris atteintes de cancer du sein. Le traitement avec la thymoquinone a supprimé la croissance tumorale, et cet effet a été encore renforcé en le combinant avec la doxorubicine, un médicament de chimiothérapie.[18]
Les essais cliniques sur des patients atteints de cancer

Des chercheurs de l’Université d’État de Wayne, dans le Michigan ont constaté que leur examen des rapports publiés sur les graines de nigelle indiquent que la poursuite des études approfondies sont nécessaires. Ils soulignent en particulier la nécessité d’étudier sa biodisponibilité et sa toxicité chez des sujets humains. Les résultats de ces études vont aider à initier des essais cliniques pour tester les effets de cet agent antique dans la thérapie du cancer.[19]

Un chercheur de Oman a déclaré que la thymoquinone a été largement étudiée. L’utilisation de la thymoquinone dans la recherche in vitro avec des cellules cancéreuses humaines et dans les études animales avec des formes induites de cancer a été complètement étudiée. En conséquence, une quantité considérable d’informations a été produite à partir de la recherche, ce qui permet une meilleure compréhension de l’activité anti-prolifération de ce composé. Par conséquent, il est approprié que la thymoquinone passe des tests de laboratoire à des essais cliniques.[20 ]
Conclusion

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