Ce trouble du sommeil triple le risque de mort précoce, et ce n’est ni l’insomnie, ni l’apnée du sommeil

Chaque nuit, des millions de parents se réveillent en sueur, le cœur battant, victime de ce trouble du sommeil trop souvent ignoré. Pourtant, il est loin d’être anodin. Une étude majeure menée par l’Imperial College de Londres, présentée au congrès 2025 de l’Académie européenne de neurologie, révèle que les cauchemars fréquents (au moins une fois par semaine) triplent le risque de mortalité précoce, bien avant 70 ans.

Plus de 183 000 adultes (26–86 ans) et 2 400 enfants (8–10 ans), suivis jusqu’à 19 ans, ont permis de constater un vieillissement biologique accéléré et un risque de décès prématuré augmenté de trois fois chez les personnes souffrant de cauchemars hebdomadaires. Ce lien est indépendant d’autres facteurs classiques (tabac, obésité, alimentation) et se maintient toutes tranches d’âge et origines confondues .

Pourquoi ce trouble du sommeil est plus dangereux que l’insomnie ou l’apnée

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