Les champignons pathogènes comme l’Aspergillus démontrent une remarquable capacité d’adaptation. Leur étude représente un enjeu majeur pour la recherche médicale, qui doit intensifier ses travaux pour mieux anticiper leur évolution.
Mais gardons la tête froide : une information claire, des mesures d’hygiène adaptées et une attention à son corps permettent déjà de minimiser considérablement les dangers.
Traiter notre environnement intérieur avec le même soin que notre peau : c’est peut-être la clé d’une coexistence plus sereine avec ces microorganismes omniprésents.