Cancer : Et si le docteur Simoncini avait raison

Comment faire concrètement ?

Le bicarbonate s’achète en pharmacie ou en supermarché, sous forme de fine poudre et se dissout à raison de 50 g par litre d’eau.
Il s’avère être un excellent antifongique, très économique, sans effets indésirables aux doses conseillées et utilisées par le Dr Simoncini.

Le principe est de mettre en contact direct, si cela est possible, le bicarbonate de soude avec l’organe infecté pendant au minimum 6 minutes (temps au-delà duquel le champignon ne peut survivre) et ce durant 7 à 8 jours de suite. En pratique, cela est facilement réalisable pour certains cancers (bouche, œsophage, estomac, intestin, utérus).

Pour les autres types de cancer non accessibles directement, le bicarbonate est administré par artériographie (injection dans une artère par cathéter).
Non seulement il amène une onde de choc alcaline aux cellules cancéreuses, mais aussi de l’oxygène qui casse l’hypoxie associée aux tissus cancéreux. Par ailleurs, il a la propriété d’absorber certains métaux lourds, les dioxines et les furannes.

Personnellement, je considère que face à la chimio, cette technique ne comporte aucun risque. Donc quelle que soit la thérapie choisie, c’est pour le moins un puissant adjuvant qui vient s’inscrire avantageusement parmi la liste des « adjuvants best of » que nous avons cités précédemment sur le site alternativesante.fr.

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