Vitamine C intraveineuse : Antioxydant puissant, elle soutient l’immunité, réduit l’oxydation du cholestérol, protège le cœur et agit comme neuroprotecteur. Interdite en France, elle est essentielle pour la synthèse du collagène et la régulation des neurotransmetteurs.
Glutathion : Surnommé le « maître antioxydant », ce tripeptide détoxifie les métaux lourds (notamment post-vaccin Covid), renforce le foie et protège contre le vieillissement cellulaire et les maladies neurodégénératives.
Artémisia (armoise annuelle) : Utilisée en médecine chinoise pour le paludisme, sa molécule active, l’artémisinine, offre des propriétés antivirales, anti-inflammatoires et anticancéreuses. Elle a été utilisée à Madagascar contre le Covid.
Curcumine : Extrait du curcuma, elle est anti-inflammatoire, soutient la digestion (en stimulant la bile), inhibe la croissance tumorale et protège contre les maladies neurodégénératives.
Ces thérapies sont administrées de manière séquentielle (par exemple, vitamine C un jour, glutathion le lendemain) pour éviter les interactions et maximiser les bénéfices. Le Dr Schmitz met également en avant la « toxophérèse », une technique de filtration du plasma pour éliminer les toxines, particulièrement utile pour les patients affectés par des vaccins ou des maladies chroniques.
Une critique acerbe du système médical
Le Dr Schmitz dénonce les dérives de l’industrie pharmaceutique et les restrictions imposées en France, où des thérapies comme l’ozonothérapie ou les perfusions de vitamine C sont interdites. Il critique la gestion du Covid, marquée par des vaccins expérimentaux et des injonctions sanitaires absurdes, comme les passes vaccinaux ou les auto-attestations en France. En Belgique, il a vécu une « tyrannie sanitaire » similaire, mais déplore surtout la docilité des citoyens face à ces mesures.
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