Aujourd’hui, j’ai trouvé une tache rouge vif sur la serrure de la porte… J’ai failli appeler la police

Une simple trace… ou un message caché ?

Mais avant de composer le numéro, je m’approche de plus près. Cette marque, rouge cerise, semble presque dessinée. Elle ne ressemble pas à une substance technique ou à un outil de forçage. Un doute m’effleure. Et si ce n’était pas ce que je croyais ?

C’est là que l’évidence me frappe. Ce rouge, cette texture… on dirait du maquillage. Et pas n’importe lequel : du rouge à lèvres. Je repense à ma femme ce matin, pressée comme jamais, sa trousse de maquillage débordant de tubes, crayons et autres petits trésors cosmétiques. Ses clés ? Fourrées en vitesse au milieu du désordre.

Le twist inattendu : quand le rouge à lèvres devient suspect numéro un

J’éclate de rire. Le stress retombe d’un coup. Mon « indice compromettant » n’est autre qu’une maladresse matinale : le bâton de rouge a sans doute bavé sur les clés, et en les insérant dans la serrure… voilà le résultat !

Quand elle rentre le soir-même, je lui montre la fameuse tache, un peu théâtral. Elle me regarde d’un air interloqué, puis comprend et rit aussi. « La prochaine fois, fais attention à ton rouge à lèvres, j’ai failli appeler la police ! » — on en rigole encore.

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