Après 260 jours passés au refuge, le chien perd espoir et « pleure sans cesse ».

Face à cette détresse, les bénévoles ont tout tenté pour lui offrir un peu de confort : ils l’ont déplacé dans un espace plus calme, ont intensifié les câlins et multiplié les appels à l’adoption sur les réseaux sociaux. Mais rien n’y faisait. Le public semblait ignorer ce chien qui pourtant, n’aspirait qu’à une chose : être aimé.

Major, bien que sociable avec ses congénères, n’est pas toujours conscient de sa force, ce qui le rendait difficile à placer, notamment auprès de familles avec enfants ou chats. Il fallait donc trouver un foyer sur mesure, capable de comprendre sa sensibilité et son énergie.

Une adoption inespérée après 260 jours

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