Nausées, ballonnements, constipation ou diarrhée fréquente ? Beaucoup accusent le stress ou un « intestin sensible ». Pourtant, ces symptômes digestifs peuvent révéler une sensibilité au gluten. D’ailleurs, jusqu’à 15 % des gens souffrant de troubles intestinaux sont peut-être mal diagnostiqués. Une piste à explorer si les traitements classiques ne fonctionnent pas.
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Prise ou perte de poids inexpliquée
Vous perdez ou prenez du poids sans rien changer à votre alimentation ? Cela peut trahir une inflammation chronique liée à une mauvaise assimilation des nutriments. Une intolérance au gluten provoque parfois ces variations métaboliquesdiscrètes mais persistantes.
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Des hormones en pagaille
Cycles irréguliers, fatigue chronique, insomnies… Les déséquilibres hormonaux peuvent être amplifiés par une sensibilité au gluten. Chez les femmes, ces troubles apparaissent parfois à la puberté, pendant la grossesse ou à la ménopause.
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Le mental en brouillard
Difficulté à se concentrer, perte de mémoire, anxiété ou même dépression ? Ce que l’on appelle parfois un« brouillard mental »peut être le fruit d’une inflammation intestinale causée par le gluten. Des migraines récurrentes après les repas sont aussi un signe d’alerte à ne pas négliger.