Cette tendance s’accentue vers 660 avec l’utilisation croissante de l’argent comme moyen d’échange, marquant l’émergence d’une nouvelle dynamique économique. On assiste alors à ce qu’on pourrait appeler une pré-Renaissance économique, germant lentement après des décennies de stagnation.
L’éternel cycle des crises
L’histoire se répète malheureusement au XIVe siècle lors de la Peste noire, où l’on observe à nouveau un effondrement des activités humaines. Comme un métronome implacable, les civilisations semblent condamnées à subir ces cycles de prospérité et de déclin.
Ces découvertes archéologiques nous rappellent avec force la vulnérabilité de nos sociétés face aux caprices de la nature. Aujourd’hui encore, en étudiant les archives naturelles que sont les glaces ou les cernes des arbres, les scientifiques continuent de décrypter ces pages oubliées de notre histoire commune.